Êtes-vous un nazi ?
Si cette question vous hante, il existe désormais un moyen rapide (enfin c'est relatif...) d’avoir la réponse à cette question existentielle qui vous pourri l’esprit. Il suffit de regarder le film « La Rafle » réalisé par Rose Bosh (sic) et de noter votre réaction finale. Selon elle,si vous ne pleurez, vous en êtes un. Et je ne parle pas ici de pleurer parceque vous aurez jeté votre argent par les fenêtres en allant le voir au cinéma ou en achetant le dvd/blu-ray (tiens et si on s’est endormi lors du film,on est quoi ?Un khmer rouge ?).
Pour elle ne pas pleurer démontre que nous serions des enfants gâtés,accros au cynisme et refusant de montrer nos sentiments car cela serait considéré comme une faiblesse. Je ne vais pas y aller par quatre chemins,je vais lui montrer mes sentiments actuels : Rose Bosh,tu es une grosse connasse prétentieuse, autoproclamée experte en profil psychologique sur la base d’une réaction ou non à ton film qui est loin d’égaler « La liste de Schindler »,n’est pas Steven Spielberg qui veut ma grande !
Bon,je pense que je dois des excuses à mes lecteurs étant donné que j’en ai probablement choqué quelques uns et j’en suis sincèrement navré. Mais bon en même temps fallait-il attendre de moi et de ma mentalité hitlérienne autre chose ? Je vous enverrais ma photo quand ma petite moustache sera assez fournie pour ne pas faire ridicule,promis.
Madame Bosh vient donc en un claquement de doigt de gagner 15.000 points Godwin ,un record qui sera à n’en pas douter inscrit au Guiness Book des records et qui se verra sans doute traiter de « Mein Kampf » irlandais par la pseudo-réalisatrice anciennement pseudo-journaliste. Dans l’histoire je suis le méchant mais c’est pourtant elle qui vient de gazer ce qui lui restait de crédibilité. Sur ce je vous laisse,il y a un documentaire sur Auschwitz en ce moment sur Arte et je me dis qu’en coupant le son et en mettant Wagner à fond je devrais être capable de me taper quelques pognes avant de souper…
PS : attention,il y a énormément d’ironie (de mauvais goût j’en conviens) dans l’article ci-dessus. Dans la vraie vie je rejoins la phrase d’Indiana Jones dans « La dernière croisade » : Les Nazis ; je hais ces gars-là !...et eux pourtant n’ont pas tenté de me tuer plusieurs fois sur deux films de temps.
Moi, je remarque surtout qu'elle n'accepte pas la critique et ça c'est symptomatique d'un certain cinéma français, je ne suis donc pas étonné c'est la marque des mauvais réalisateurs.
RépondreSupprimerSieg Heil !
Cette tendance des gens du spectacle à donner des leçons de morale à tout le monde, ca m'énerve prodigieusement. J'avais déjà pas follement envie de le voir son film, c'est pas en sortant des conneries de ce genre qu'elle va me convaincre de dépenser 20€.
RépondreSupprimerPour la moustache, si ça traîne, je te suggère d'y mettre un peu de brin de pigeon, cela active la pousse.
RépondreSupprimerRemède de grand-père [-_ô]
j'ai déja essayé mais je suis allergique ... ^^
RépondreSupprimerTout à fait d'accord avec les interventions précédentes sur les leçons de morale et la difficulté à accepter la critique.
RépondreSupprimerJe n'avais pas entendu l'énormité de la réalisatrice mais ça vaut le coup ! Non seulement c'est idiot mais c'est d'une prétention incroyable...
En tout cas, ça aura eu au moins un aspect positif : cet excellent article, rentre-dedans certes mais fort drôle. ;o)
Traiter qqun de "connasse" ça perd aussi en crédibilité pour un critique. Un bon critique casse mieux avec un autre vocabulaire que celui-là qui est horriblement vulgaire.
RépondreSupprimersauf que je suis clairement dans le registre des sentiments et non du réfléchi (puisque madame veut qu'on les montre alors faisons lui au moins ce petit plaisir). Ici je ne suis pas dans le cadre d'une critique argumentée mais bien dans le cadre d'une sorte de règlement de compte,et dans ce genre de situations les noms d'oiseaux fusent souvent une fois un certain point franchi,ça n'excuse pas la vulgarité mais ça explique sa présence dans mes pages puisque j'ai sciemment choisi le schéma de la provocation pour rédiger cet article.
RépondreSupprimer