Pinako et Winry, mécaniciennes de génies, greffent deux auto-mails (greffes cybernétiques) à Ed, pour lui redonner semblant de bras et de jambe. Pour avoir accès à toute la connaissance sur l'alchimie, Ed et Al se rendent à la capitale de leur pays et arrivent à entrer dans l'armée. Ed grimpe vite les échelons au sein des alchimistes d'état…car il a un avantage certain, une habilité que personne d'autre que lui ne possède : depuis sa transmutation ratée, Ed n'a plus besoin de dessiner un cercle pour transmuter ! Il obtient le surnom de Fullmetal Alchemist et se retrouve sous les ordres du colonel Roy Mustang, un arriviste coureur de jupon qui ferait presque passer Nicky Larson pour un chaste et saint homme (mais les apparences peuvent être trompeuses). Lors de l'une des missions confiée par Mustang, Al et Ed découvrent l'impensable : un chercheur a réussi a créé une chimère (un être mi-humain mi-animal )…à partir de là les évènements vont s'emballer, emportant avec eux les frères Elric…
Il y a tellement à dire sur ce manga que je préfère m'arrêter là. Voila mon manga coup de cœur. Celui qui aurait pu être le dragon ball de notre temps. D'ailleurs il reprend certains archétypes narratifs de l'histoire fleuve d'Akira Toiyama : la quête initiatique, les combats orchestrés de main de maîtres et ébouriffants, l'humour omniprésent…bien entendu l'histoire n'a rien à voir et brasse de nombreux thèmes comme la vengeance, le génocide d'un peuple, la recherche scientifique sans conscience, la quête du père disparu, l'amour fraternel,les sentiments que l'on n'ose avouer,etc… Sous couvert d'une œuvre tout public, la mangaka Hiromu Arakawa nous sert des thèmes forts et qui ne laissent pas indifférent.Sans compter que la violence est rarement gratuite et ne constitue pas le moteur de l'intrigue.
Les personnages évoluent dans un monde qui ressemble au nôtre tel qu'il fut aux abords des années 1920, d'ailleurs ce monde sort d'une guerre sanglante et dévastatrice. La technologie est donc rudimentaire, ce qui est compensé par l'alchimie.
Au-delà des deux frères, le supporting cast est bien fourni et l'on se prend vite à apprécier ou à détester ( c'est selon) ces personnages souvent hauts en couleur, pas souvent manichéens et qui offrent une vraie richesse narrative à l'œuvre. Les retournements sont nombreux, et le tout va crescendo jusque l'affrontement final. L'émotion est également bien présente.
Bref, voila 27 tomes d'un manga peu connu car noyé dans la déferlante nippone quand Dragon Ball, précurseur n'avait pas vraiment de concurrence. Alors oubliez Naruto ou One piece, si un manga mérite d'être aussi culte et d'entrer au panthéon à côte de Dragon Ball ou St Seya, c'est bien Fullmetal Alchemist !
Il y a tellement à dire sur ce manga que je préfère m'arrêter là. Voila mon manga coup de cœur. Celui qui aurait pu être le dragon ball de notre temps. D'ailleurs il reprend certains archétypes narratifs de l'histoire fleuve d'Akira Toiyama : la quête initiatique, les combats orchestrés de main de maîtres et ébouriffants, l'humour omniprésent…bien entendu l'histoire n'a rien à voir et brasse de nombreux thèmes comme la vengeance, le génocide d'un peuple, la recherche scientifique sans conscience, la quête du père disparu, l'amour fraternel,les sentiments que l'on n'ose avouer,etc… Sous couvert d'une œuvre tout public, la mangaka Hiromu Arakawa nous sert des thèmes forts et qui ne laissent pas indifférent.Sans compter que la violence est rarement gratuite et ne constitue pas le moteur de l'intrigue.
Les personnages évoluent dans un monde qui ressemble au nôtre tel qu'il fut aux abords des années 1920, d'ailleurs ce monde sort d'une guerre sanglante et dévastatrice. La technologie est donc rudimentaire, ce qui est compensé par l'alchimie.
Au-delà des deux frères, le supporting cast est bien fourni et l'on se prend vite à apprécier ou à détester ( c'est selon) ces personnages souvent hauts en couleur, pas souvent manichéens et qui offrent une vraie richesse narrative à l'œuvre. Les retournements sont nombreux, et le tout va crescendo jusque l'affrontement final. L'émotion est également bien présente.
Bref, voila 27 tomes d'un manga peu connu car noyé dans la déferlante nippone quand Dragon Ball, précurseur n'avait pas vraiment de concurrence. Alors oubliez Naruto ou One piece, si un manga mérite d'être aussi culte et d'entrer au panthéon à côte de Dragon Ball ou St Seya, c'est bien Fullmetal Alchemist !