Les éditions Delcourt continuent de sortir Spawn sous forme d’intégrales assez conséquentes.
Dans ce volume nous retrouvons Spawn qui voyage à travers l’état pour rejoindre sa ruelle et son « trône » . Mais dans l’ombre tous les joueurs s’activent avec leurs propres ambitions, de son ancien boss qui se voit charger de le détruire,en passant par un(e) ange remontée contre l’enfer et même son symbiote qui semble vouloir mener la barque tout seul sans que Spawn n’ait son mot à dire.
On reprochera au comics créé par Todd McFarlane de ne pas avancer à grands pas mais il ne s’agit pas de décompression. Non,il distille petit à petit des informations qui reviendront plus tard (voire beaucoup plus tard à l’instar d’une simple case représentant Cy-Gor que l’on n’est pas encore sûr de revoir au prochain volume,ou encore ce personnage aperçu à la fin du volume 2 qui repointe seulement le bout de son museau maintenant) , et qui auront leur importance. Qui va piano va sano comme on dit. Niveau dessin par contre on est en pleine période des débuts d’Image comics : story-telling approximatif, gore parfois gratuitement etc….
Le scénario est égal à celui des précédents tomes,autant dire que si vous n’avez pas accroché aux débuts de Spawn ce volume ne vous fera pas changer d’avis.
Mais malgré la lenteur apparente de l’histoire,il arrive quand même beaucoup de choses au rejeton de l’enfer,comme cet(te) ange qui décide de résussir là ou Angela échoua dans le but de prendre sa place de favorite. Hors il est ici intéressant de revenir sur le litige qui oppose McFarlane et Neil Gaiman. Au début de la série,Todd McFarlane commande à divers auteurs renommé un script chacun. Alan Moore décrira le fonctionnement de l’enfer et de ses différents niveaux,Frank Miller un one shot urabin gore et sans grand intérêt et Gaiman envoya aux trousses de Spawn un agent céleste qui devra le traquer. Cet agent c’est Angela. Elle est l’exact opposé de Spawn :il est noire,défiguré,costumé,infernal. Elle est blanche,belle,très peu habillée et divine.
On reprochera au comics créé par Todd McFarlane de ne pas avancer à grands pas mais il ne s’agit pas de décompression. Non,il distille petit à petit des informations qui reviendront plus tard (voire beaucoup plus tard à l’instar d’une simple case représentant Cy-Gor que l’on n’est pas encore sûr de revoir au prochain volume,ou encore ce personnage aperçu à la fin du volume 2 qui repointe seulement le bout de son museau maintenant) , et qui auront leur importance. Qui va piano va sano comme on dit. Niveau dessin par contre on est en pleine période des débuts d’Image comics : story-telling approximatif, gore parfois gratuitement etc….
Le scénario est égal à celui des précédents tomes,autant dire que si vous n’avez pas accroché aux débuts de Spawn ce volume ne vous fera pas changer d’avis.
Mais malgré la lenteur apparente de l’histoire,il arrive quand même beaucoup de choses au rejeton de l’enfer,comme cet(te) ange qui décide de résussir là ou Angela échoua dans le but de prendre sa place de favorite. Hors il est ici intéressant de revenir sur le litige qui oppose McFarlane et Neil Gaiman. Au début de la série,Todd McFarlane commande à divers auteurs renommé un script chacun. Alan Moore décrira le fonctionnement de l’enfer et de ses différents niveaux,Frank Miller un one shot urabin gore et sans grand intérêt et Gaiman envoya aux trousses de Spawn un agent céleste qui devra le traquer. Cet agent c’est Angela. Elle est l’exact opposé de Spawn :il est noire,défiguré,costumé,infernal. Elle est blanche,belle,très peu habillée et divine.
Hors Gaiman attaquera McFarlane pour ne pas avoir verser de royalties sur le perso d’Angela,empêchant par là la réédition d’épisodes où elle apparaît. Ce volume contourne le problème et nous présente un autre agent,ressemblant comme deux gouttes d’eau à Angela mais ces épisodes ne font pas l’objet de problèmes juridiques.
Hors si Gaiman se dit l’inventeur d’Angela,pourquoi ne pas avoir fait en sorte que la justice interdise de reproduire " ses "concepts au lieu d’interdire un personnage qui est facilement remplaçable,ne faisant de ce fait aucun tord à celui qui,selon-lui,l’a spolié ?
Après tout,faire intervenir un ange comme adversaire d’un démon,les lecteurs s’y attendaient avant que Neil Gaiman n’introduise Angela. Mais cette histoire ne remet pas en cause mon attachement aux œuvres de l’auteur que ce soit ses romans ou ses comics.
Après tout,faire intervenir un ange comme adversaire d’un démon,les lecteurs s’y attendaient avant que Neil Gaiman n’introduise Angela. Mais cette histoire ne remet pas en cause mon attachement aux œuvres de l’auteur que ce soit ses romans ou ses comics.
Les différents niveaux de l’enfer seront aussi à l’honneur dans ce volume et l’un d’entre eux sera l’endroit choisi pour un crossover avec le Savage Dragon d’Erik Larsen.Delcourt publiera donc un épisode de ce héros à la suite de celui de Spawn,ne coupant ainsi pas l’histoire comme un de ces concurrents aurait sans doute fait.
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