La Fox ne croyant pas dans le potentiel de Firefly,Whedon s’est arrangé avec Universal qui racheta les droits pour en faire un film : Serenity.
L’action se déroule plusieurs mois après la fin de la série. Inara est partie enseigner et le père Book s’est installé sur la planète Haven. L’équipage survit toujours de la même façon. Mais un agent spécial se lance sur les traces des Tam avec presque toute la flotte.
Le style est bien entendu bien plus cinématographique et l’on a jamais l’impression de regarder une série télé ce qui est un bel exploit pour Whedon qui réalise ici son premier long-métrage. Les mystères sont levés aussi bien sur les réelles capacités de River et sur l’origine des Reavers. Origines qui sont une énorme critique d’une société qui désire purger l’humain de son humanité pour mieux le contrôler. Les relations entre les personnages sont toujours aussi bien décrites (ça a toujours été un des points forts de Joss Whedon) et l’humour si particulier des séries de l’auteur est toujours là.
Serenity mise plus sur le fond que sur la forme contrairement à trop de films de SF actuels. On ne peut qu’espérer deux choses maintenant : que Dollhouse sa nouvelle série de SF qui débarquera aux USA en février ne subissent pas le même sort que Firefly et que le pochain Star trek ,réalisé par JJ Abrams (créateur de Alias et Lost) qui vient lui aussi de la télé , ne soient pas qu’une coquille vide remplie d’effets spéciaux et prenne exemple sur Serenity.
L’action se déroule plusieurs mois après la fin de la série. Inara est partie enseigner et le père Book s’est installé sur la planète Haven. L’équipage survit toujours de la même façon. Mais un agent spécial se lance sur les traces des Tam avec presque toute la flotte.
Le style est bien entendu bien plus cinématographique et l’on a jamais l’impression de regarder une série télé ce qui est un bel exploit pour Whedon qui réalise ici son premier long-métrage. Les mystères sont levés aussi bien sur les réelles capacités de River et sur l’origine des Reavers. Origines qui sont une énorme critique d’une société qui désire purger l’humain de son humanité pour mieux le contrôler. Les relations entre les personnages sont toujours aussi bien décrites (ça a toujours été un des points forts de Joss Whedon) et l’humour si particulier des séries de l’auteur est toujours là.
Les habitués de Buffy s’amuseront de trouver des traces de ce que Whedon avait déjà fait auparavant comme le sex-bot de Spike (qui ici est baptisé Love-Bot) ou encore la mort inattendue d’un personnage principal (le spectre d’Anya dans la dernière saison de Buffy n’est pas loin) et l’origine même des reavers renvoie à la saison 4 de Angel et à la paix mondial qui régna dans la série (sauf à Sunnydale puisque le First y régnait à ce moment là..mais je m’égare).
Serenity mise plus sur le fond que sur la forme contrairement à trop de films de SF actuels. On ne peut qu’espérer deux choses maintenant : que Dollhouse sa nouvelle série de SF qui débarquera aux USA en février ne subissent pas le même sort que Firefly et que le pochain Star trek ,réalisé par JJ Abrams (créateur de Alias et Lost) qui vient lui aussi de la télé , ne soient pas qu’une coquille vide remplie d’effets spéciaux et prenne exemple sur Serenity.
Et pour l'anecdote,les fans de comics seront surpris de voir qu'un certain Leinil Yu est crédité dans les artistes conceptuels...s'agit-il du dessinateur officiant en ce moment chez Marvel ? Mystère mais Whedon ayant des contacts dans le milieu ça ne m'étonnerait pas plus que ça.
D'ailleurs comme pour Buffy et Angel,les comics sont devenus le second lieu de vie des personnages puisqu'une série dérivées se déroulant entre Firefly et Serenity a été lancée. On espère la voir arriver en français.
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